Il paraît que tout le monde a le droit à une seconde chance. Ok prenons ce principe comme étant réaliste. Mais quand on parle de seconde chance, de quoi parle t’on ? Une seconde chance de quoi, une seconde chance par rapport à quoi ? La possibilité après des débuts difficiles de pouvoir accéder enfin à une vie plus calme, sans heurts, sans soucis, sans maux ? Il me semble pourtant que ce concept de seconde chance apparaît très limité. En effet, si on ajoute à ça la simple idée qu’on a qu’une seule vie, j’ai bien l’impression que la secnde chance n’est qu’une illusion perfide. Comment oublier tout ce qui a fait notre vie en espérant que cet oublie fera de nous ce que nous serons. Oublier n’est pas possible, car ce passé si compliqué qui s’acharne a livrer avec nous une course d’où il ressortira toujours vainqueur. Subir et fermer sa gueule? se laisser marcher dessus par des cohortes d’insectes toujours plus nombreux jours après jours, pas après pas ? Se battre pour ce qu’on pense juste et droit ? Le choix pourrait être simple. Facilité nous pousserait à courber l’échine en attendant bêtement de se faire ronger l’os par tous ces cafards qui n ‘attendent de vous qu’inaction et faiblesse. Cette même facilité pourrait tout aussi bien nous proposer d’attaquer, tout simplement, comme nous l’avons toujours fait dans le passe, mais la, nous retournerions illico dans les travers qu’il nous faudrait au contraire a tout pris eviter. Complication de son coté, pourrait elle aussi nous proposer deux oprtions différentes l’une de l’autre. La première consisterait a attaquer bêtement et a subir les conséquence d’une connerie un peu trop prononcée. Notez les similitudes avec le deuxième choix de facilité. La seconde option de complication, sera de se défendre, prendre les coups, les rendre en utilisant les armes quez vous n’auriez jamais pensé utiliser avant ça. Aucune de ces solutions n’est satisfaisante. Du coup c’est quasiment imposible de sortir de ce cercle vicieux.et moi malgré tous les efforts que je peux faire pour tenter de changer les choses, j’enrage…